Québec, le 12 septembre 2023 — Pascal Paradis, le candidat du Parti Québécois à l’élection partielle dans la circonscription de Jean-Talon, ajoute sa voix aux revendications des étudiantes et des étudiants. Il s’engage notamment auprès de la population étudiante de Sainte-Foy et de Sillery à lutter pour l’élimination des intérêts sur les dettes d’études, pour la rémunération de tous les stagiaires de la fonction publique, pour le rapatriement des fonds de recherche fédéraux, et pour combler le sous-financement des universités francophones.
EN BREF
● Pascal Paradis veut défendre le portefeuille des étudiants et diplômés contre la hausse des taux d’intérêt et contre les stages non rémunérés.
● Il propose d’abolir le paiement des intérêts sur les prêts étudiants.
● Il veut que le gouvernement rémunère les stages dans la fonction publique.
● Il dénonce le sous-financement chronique des institutions francophones et l’attribution
inéquitable des bourses de recherche fédérales.
● Pascal Paradis a rencontré la CADEUL et l’AELIÉS.
Le Parti Québécois a toujours soutenu les étudiants. Le candidat péquiste dans l’élection partielle de Jean-Talon, Pascal Paradis, s’inscrit dans ce long héritage politique et s’engage aujourd’hui à être une voix forte pour les étudiants et les diplômés de Sillery–Sainte-Foy. Il propose ainsi d’éliminer les paiements d’intérêts sur les prêts étudiants et surtout de défendre la rémunération des stages dans la fonction publique.
« Je serai un ardent défenseur de l’élimination des intérêts sur les prêts étudiants et je vais également ajouter ma voix à celle de Pascal Bérubé pour que la rémunération des stagiaires devienne réalité. Le gouvernement n’a pas avancé depuis l’adoption de la motion du Parti Québécois en ce sens. Je veux contribuer à mettre fin à cette injustice des stages non rémunérés. J’invite les étudiantes et les étudiants de Jean-Talon à se donner le 2 octobre un député pour défendre leurs intérêts à l’Assemblée nationale », soutient le candidat Pascal Paradis.
Financement des universités
Rappelant que le Parti Québécois s’était engagé à corriger le sous-financement chronique des universités francophones au Québec, Pascal Paradis a rappelé que les étudiants qui fréquentent des institutions francophones comme l’Université Laval ont droit à un traitement équitable par rapport aux personnes qui fréquentent les institutions anglophones.
« C’est une question de principe. Nous sommes en faveur de mesures fermes, comme le partage des droits de scolarité des étudiants étrangers. En ce qui concerne les fonds de recherche fédéraux, ces derniers seraient gérés plus équitablement à Québec. Le gouvernement doit agir sur ces questions », affirme Pascal Paradis.
La circonscription de Jean-Talon comprend certaines des plus importantes institutions d’enseignement supérieur au Québec, tant en effectifs étudiants qu’en termes de recherche. Les 56 000 personnes qui fréquentent l’Université Laval, tous ceux qui fréquentent les CÉGEPS de Sainte-Foy ou Garneau et qui habitent dans la circonscription méritent que leur prochain député porte leurs revendications vigoureusement à l’Assemblée nationale.
« Je suis très heureux d’avoir rencontré la Confédération des associations d’étudiants et étudiantes (CADEUL) et l’Association des étudiantes et des étudiants inscrits aux études supérieures (AELIÉS) dès le début de campagne. C’était pour moi essentiel. Je vais travailler avec les associations étudiantes et je m’engage à être un allié pour elles à l’Assemblée nationale », conclut Pascal Paradis, lui-même nommé Grand diplômé de l’Université Laval.
– 30 –
SOURCE :
William Fradette, responsable des communications de Pascal Paradis
418 487-4500 | wfradette@gmail.com