Québec, le 30 novembre 2023 – Pascal Paradis, député de Jean-Talon et porte-parole du Parti Québécois en matière d’énergie, a obtenu trois engagements de la part de Michael Sabia, président-directeur général d’Hydro-Québec, au bénéfice des Québécoises et Québécois durant les Consultations sur le Plan d’action 2035 d’Hydro-Québec.
EN BREF
Trois engagements de la part d’Hydro-Québec obtenus par le Parti Québécois:
- Des consultations publiques entre les organisations de la société civile et le PDG et la haute direction d’Hydro-Québec;
- Pas de projet de barrage si les communautés autochtones si opposent;
- La publication de l’estimation des calculs des GES non émis.
Durant les consultations, le député péquiste, Pascal Paradis a réussi à obtenir trois importants engagements de la part de Michael Sabia qui seront bénéfiques tant pour la société d’État que pour la société civile et l’ensemble des Québécoises et Québécois. C’est l’utilité de ce genre de consultations que de permettre une saine transparence et favoriser le dialogue entre les institutions telles qu’Hydro-Québec et la société civile pour faire entendre les demandes citoyennes.
Plusieurs organismes et experts en environnement et en énergie souhaitaient avoir un débat public sur l’avenir énergétique du Québec. « Monsieur Sabia s’est montré ouvert en parlant de « besoin de conversation », alors je lui ai demandé s’il accepterait de tenir des consultations publiques avec les citoyens et les citoyennes. Monsieur Sabia a accepté d’organiser ce type de rencontre entre lui-même, la haute direction d’Hydro-Québec et des représentants de la société civile », se réjouit le porte-parole péquiste. « Tout le monde y gagne. La société civile et Hydro-Québec peuvent positivement bénéficier de ce dialogue afin d’ouvrir leurs perspectives et maximiser l’utilisation de l’expertise de part et d’autre ».
Le PDG d’Hydro-Québec, en réponse à une question de Pascal Paradis, a par ailleurs été clair : s’il n’y a pas d’acceptabilité sociale de la part des communautés autochtones pour un projet de barrage, ce projet ne se réalisera pas. « C’est une confirmation clé pour les communautés autochtones, pour leur autonomie, pour la protection du territoire. Nous invitons Hydro-Québec à inscrire cet engagement dans le plan d’action révisé qui sera déposé au printemps », souligne Pascal Paradis.
La société civile tenait aussi à obtenir des réponses quant aux calculs de la société d’État sur les GES évités grâce aux mesures d’efficacité énergétique. Le PDG d’Hydro-Québec ainsi que les membres de la haute direction présents se sont engagés à rendre publics les documents nécessaires à cet effet.
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SOURCE :
Emmanuel Renaud
Attaché de presse
Aile parlementaire du Parti Québécois